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dernière mise à jour le 20 avril 2022

 

 
auteur : Claude GOT

Le lien entre la sécurité routière et la protection du climat

L'attente d'une sincérité

Une seconde élection réussie d'un président de la République a toujours un intérêt particulier, l'absence d'une troisième élection lui permet de développer ses convictions sans crainte.

Dans le domaine que j'analyse depuis une cinquantaine d'année, les questionnement sont faciles et les décisions peuvent être prises dans des délais courts :

  • le retour à 90 km/h des vitesses maximales a prouvé l'aggravation de l'accidentalité et les erreurs de choix de nombreux responsables départementaux dont la mortalité rapportée à la population se situait à des niveaux élevés. Revenir au 80 pour tous est une décision qui peut coriger l'erreur dans un délai court.
  • La réduction à 110 km de la vitesse maximale sur les autoroutes est une décision efficace qui complaiterait la précédente.
  • L'accroissement du poids des voitures a été accrue au cours des 10 dernières année. L'accroissement du poids devait produire un accroissement élevé des taxes, cette décision a été réduite, il faut la reprendre.
Dans ce domaine, les destructeurs du climat sont facile à classer. En 2015 la décision de la France a été précise : réduction de 29% des émissions dans le secteur des transports sur la période 2015-2028 Après la réduction du trafic sous l'influence de la COVID, le niveau de consommation s'est rapproché à celui de 2015, exprimant avec une évidence l'absence complète de sens des décisions.